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_Hooooooo ! Tu t’es trompé, blondinette. Les cabine d’essayage c’est pas ici.

Qu’est ce que... un flamant rose et maintenant un blond avec une tête de dépressif et une coupe d’émo. Non mais, on s’fout de ma gueule là ! En plus monsieur à le culot de connaître mon nom d’famille. Adieu la surprise. Bien, bien arrêtons de se plaindre, je pourrais avoir moins de chance et tomber face à un type de trois mètre de haut sur trois de large et là, ça aurait pas été drôle longtemps. Comment le pousser à bout vite fait bien fait ? Improvisons.

_Bien, traître de plaisanterie, tu connais mon nom de famille et sûrement mon prénom. Le grand, le beau et le magnifique Holland, ça ne s’oublie pas. Comme tu as eu la non-intelligence de ne pas décliner ton identité j’vais t’appeler hum.... Sophie ! Ouai Sophie c’est cool.

Le premier prénom qui m’est passé par la tête, l’une de mes nombreuses ex je crois. Je m’en souviens même plus, ça remonte à trop longtemps. Et pis avec un visage aussi terne, il pensera sûrement au malheur de Sophie. Mon dos commençait à franchement me faire mal. Rester appuyer contre le pied dur et froid de cette chaise en métal n’était peut être pas la meilleur solution. Après une étude approfondie du physique de mon nouveau bourreau je remarquais un drôle de blason sur son épaule. Dommage que je ne comprenne rien au japonais, mais le dessin de la fleur elle, je l’a comprenait. Un soucis, ou du moins ça y ressemblait bien. La fleur du baba cool en somme. Paix et amour, non violence. On croirait entendre parler le lézard avec ses rêve d’utopie, la fin des guerres entre hueco mundo et Soul Soceity. Beurk. Je me contorsionnait pour essayer de quitter cette position inadaptée. Mais la douleur me taillada le dos et torse, les bandages blanc devinent rouges vifs, ma blessure au coeur ne c’était pas totalement refermé et des gouttes glissaient le long de mon torse pour se perdre dans mon pantalon. O joie éternelle, je vais mourir vidé d’mon sang. Calmant ma respiration je suivait le liquide des yeux ruisselant doucement sur mon torse.

_C’est pas désagréable cette sensation, tu devrais essayer.... Après faut éviter le coeur, ça c’est le plus dur. Passé cette étape c’est l’extase assurée. Enfin, j’rigole hein. Tu peux m’aider Sophie ? S’il te plait !

En réalité ça faisait un mal de chien, mais pour rien au monde j’aurais lâché mon adorable sourire de bisounours. Être têtu, ça à du bon parfois, éviter de montrer ce que je pense réellement à ce euh.... shinigami dépressif. Mon dos me brûlait, dû au coup de fouet répété de mister pink. Franchement je crois que, dès que je sors, je vais revenir pour réduire à néant toutes les personne possédant des cheveux aussi immonde. Et je torturerais les coiffeurs aussi. Ils sont pas innocent dans cette histoire. Je crois que je dérive, je viens de faire un petit “hors sujet” bien sympathique pour démontrer la haine que j’ai envers les cheveux de couleur pas normal. Bizarrement, je me sentais de plus en plus faible. Évidemment, on perd pas autant de sang et s’en sortir indemne mais c’est comme si on essayais de me retirer mon âme. Le lézard ce serait libéré ? Impossible.

• Petit détour dans la tête •

_Si c’est possible triple buse.
_Retourne dans ton panier ou je tue ta volonté.
_Ce corps et à moi, je t’inter...
_Blablabla, j’ai pris possession des lieues, oust !
_Non, je part...
_Si, un point c’est tout. Et puis c'ets quoi ce délire avec l'âme soeur, depuis quand t'aime quelqu'un lézard ?
_J...

• Retour à la réalité •

Je me concentrait pour transformer en une image ma volonté et attaché mentalement l’esprit de ce lézard dans un coin sombre du mien. Il me criait d’arrêter, qu’il voulait, avant disparaître, dire ce qu’il avait sur le coeur à quelqu’un. Mais de qui, que quoi ? Moi, le demi-dieu Holland que dis je, l’apolon, ne connaît même pas la chère et tendre de notre petit caméléon. Ho sacrilège ! Je vais mener mon enquête.

_Dis Sophie, imagine un type asocial et sans tact, il pourrais aimer quoi comme genre de nana ? Plutôt des folles à sang chaud ou des robots télécommandés.... Grrr.... pourquoi je sais même pas çaaaaahaaa...

Coupure momentanée de l’image. Ma tête tournait de plus en plus vite, mes paupières se fermaient d’elles même sans se rouvrirent et... et et... déconnexion.

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_M’asseoir ? Tu me prend pour qui ?

Avec difficulté je me relevais et du bout du pied je mis la chaise par terre. Plutôt mourir que faire comme ces foutues flemmard à rester planter sur une chaise. C’est une réaction de gamin, si je met mes fesses la dessus je lui offrirait une victoire, une victoire de trop. Le sang gouttait par terre, et créé une jolie marre, où sont les canard ? J’en ai déjà un beau spécimen en face de moi, nommé Sophie. Je mis mes pieds sur le dossier de la chaise par terre et mes fesses entre les pieds. Position plutôt confortable, toujours mieux que le sol. Je ne m’étais pas assis sur la chaise, mais sur le dessous de la chaise, un point pour moi.

_Tu penses vraiment, ma jolie Sophie, que je sais quelque chose sur un monde où il n’y a rien. Je pourrais te dire qu’il y a un grand château blanc où vivent les arrancar. Mais j’te le dirais pas. Oh, et puis Fuck hein ? J’ai pas envie que les messieurs en blouse blanche revienne, ils me foutent un de ses cafard. Sinon, si vous voulez partir en vacances là ba, faut prendre les réservation six mois à l’avance sous peine de tomber sur une piaule déjà occupé par un joli espada. Les espada ma Sophie, c’est les dix plus gros Cheat’ du Hueco Mundo. Sinon, y’a les exilé, des idiots, les fraccion, sous-fifres des espadas.... Ça te va ?

Je réfléchissais, ces informations ne pouvais pas lui servir à grand chose à par se pavaner devant ses collègues de bureau. Mais moi, qu’est ce que je suis. Je peux utiliser les pouvoirs de Rui tranquillement, je peux me battre mieux que le lézard. Je suis donc moi aussi classé comme espada, cuatra bis ? Je peux me vanter d’en faire parti, je suis une partie inhérente du lézard, je possède donc tous ses titres de noblesse, et autres conneries de ce genre.

_Tu ferais bien de te méfier de moi si ce n’est pas déjà fait, je ne suis pas l’une de ses tarlouze d’indépendant, je suis le quatrième plus puissant. Oui, si ton cerveau est pourvu d’une logique, je fais parti des dix cheatés. Et vu ta tête, tu dois pas être super haut placé. J’vois bien le petit martyre qui tout les soirs doit rejoindre son cap’taine pour une “réunion particulière”. Tu vois de quoi je parle hein ? y-a-o-i... Enfin, après j’dis ça, j’dis rien. Mais tu sais, si tu as besoin de vider ton petit coeur, je suis là, je supporterais tout et tu peux être sûr que tes secrets seront bien gardés. J’aime parler ! C’est une fuckin’ liberté de parler. J’peux te raconter ma vie si tu veux.... Il était une fois.... Ah ! C’est vrai, tu le mérite pas. Dommage.

Mon but dans la vie ? Rendre celle des autres impossible. Je crois qu’il va me résister longtemps mais si je lui donne des infos croustillante en même temps, il mordra à l’hameçon. Mais franchement, ça tête ne vous donne pas envie de vomir ? Ça expliquerais pourquoi son chef préfère le voir de dos. Quelque chose me démange, j’ai une folle envie de rire, rire par plaisir ou par folie ? Qu’importe, je veux rire. J’exige, que dis-je je rit bon sang. Un rire aigu, rempli de sadisme, pendant plus d’une minute, oui une bonne minute. Ma voix résonnait dans la petite pièce, la porte en métal vibrais légèrement, j’avais les larmes aux yeux tant c’était bon. Puis net, je m’ arrêtais, fixant mister uke dans les yeux. Mes mains bougeait lentement pour faire s’entrechoquer les anneaux et ainsi créé un petit bruit pas désagréable mais plutôt énervant. Je regardais mes pieds, attachés par quelques cordes. Avais je encore la force de casser ça ? Peut être... Les shinigami ne sont pas très malin, ils ont cru que ma force se trouvait dans mes mains alors qu’en réalité je possède tout dans les jambes, les plus résistante du Las Noche.

_Dit Sophie-Uke-chan ? J’aimerais savoir.... J’ai envie de faire pipi, je fais comment ? Parce que ça presse et à moins que tu aime l’odeur de l’urine lors de tes interrogatoire bah.... j’vais me faire dessus. Ne crois pas que j’ai peur de toi... Remarque c’est toi qui risque de faire une attaque si tu dois m’aider à ouvrir ma braguette. Ha.... ça me rappel de beau souvenirs...

Le métal de mes menottes commençait à me taillader les poignet et je crois même qu’un peu de sang coulait le long de mes poignets. Chié...

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