Ho oui ! Vous êtes tous là pour moi ! Non ? Shinigami, quincy et mod soul. Magnifique mélange. [Pv Bya-Soi-Yuna]

Souviens-toi de mon nom:

Ce fichu Mod Soul.... Abruti bleu toi même. Pfeuh, vraiment aucune classe, et malpoli et empêcheur de réfléchir tranquillement... Au moins, j’ai enfin un caractère intéressant dans mon cube magique. J’essayerais bien de coller cette boule d’arrogance sur je sais pas.... un blasé, un snobeur un truc du genre. Ho oui, un mec impossible à vivre qui ne parle presque jamais! Ouai ! Un type trop sûr de lui ! Et si possible avec une écharpe bleu pâle, ça ce serait le must. Le must du must serait qu’il porte des barrettes, qu’il ai des cheveux noir et qu’il soit noble. Ça ce serait le rêve, oui je rêve, comme toujours. Depuis quand cela est il interdit ? Les songe,s ça ne devient jamais réalité. Seul les dieu en personne peuvent les réalisé. Mais comme les choses divines ressemblent toutes à des tranche de gruyère armés de canne à pêche bleu à fleur il est clair que jamais je ne croiserais l’homme dont j’ai fais la description plus haut. J’imagine, ho oui j’imagine. Mais... je crois que je l’ai déjà dit, passons. Je venais à peine de quitter cet idiot de pingouin, en réalité une nuit s’était écoulé. Il était bien tôt, la fin de l’hiver, foutue saison inventé par les humains pour geler les nez, les orteille et toutes les autres extrémité de l’anatomie inutiles. J’avais bien envie de rentrer et de retrouver mon cher bazar, pouvoir me coucher dans ses bout de tissu sale, veiller tard pour construire des machines littéralement improbable, mettre au point des plan machiavéliques, dessiner, tracer, rédiger, écrire et.... dormir. Le parc de Karakura, des enfants, d’immondes gosse sans gêne bon à crier, vous frapper et vous tirer dans tout les sens. La vie de peluche n’est jamais rose. Et puis il y a ses... tourteraux. Impossible de les raté, toujours installé sur les banc ou pire, derrière les sapin en train de faire des chooooses que l’on pourraient qualifiés de traumatisante. Voila ! Voila pourquoi je déteste plus que tout les femmes, voila pourquoi j’y suis allergique simplement parce qu’elles sont répugnantes. Tout le contraire des hommes, des vrais. Parce qu’évidement, il y aussi les faux. Les types qui mettent du vernis, qui portes des vêtement moulant et qui parle d’une voix aigu. Je crois qu’on appel ça un travesti, ou une bouillotte, me souviens plus du terme exact. Dailleurs, tant que je vous tien ! Vous avez quelque chose contre les scientifiques fous ? Que ce soit clair entre nous, le premier qui trouve ça gênant, idiot, hilarant, complètement absurde et j’en passe et des meilleurs, il peut rentrer chez lui. Le bac à sable est passé, les buissons érotiques aussi. Le champ de mine-pigeon est mon prochain obstacle. Discrétion dans les fourrés passage derrière le banc avec les petits vieux et... Goal ! Me voici... à la moitié de l’étendue d’herbe. Il fait vraiment trop froid, l’herbe est encore couverte d’une mince couche de neige et mes petites pattes en tissu sont toutes trempées. Faisons une halte ici. A l’abris contre ce beau chêne qui doit sûrement avoir une dizaine d’années mais qui clairement, n’est pas originaire du Japon. Je dirais hum, vers l’Europe, mouai. Je dirais du nord de la Bulgarie, Nord ouest de la Bulgarie, prêt de la frontière. Oui clairement, c’est ça. Et arbre est bulgare, comme les yaourt. C’est bien sympa, mais ! Qu’est ce que c’est que ça. Pourquoi ai je l’impression que... ça pue le shinigami ! Bouh ! Ca sent pas bon, ça empeste la nana ! Ha et mon urticaire qui reprend ! Non, c’est pas bon du tout ça ! Encore une gonzesse, une maudite gonzesse. Je vous hais ! Cruche, mochetées, hideuses choses ! Beurk, bouh ! Caca !

_Allez vous en ! J’aime pas les femmes ! Cet arbre est bulgare et il n’aime pas non plus les nana ! Partez !!!

Souviens-toi de mon nom: · Invité

Il faisait froid, dans ce monde des humains. C’était exécrable ... Je ne pouvais pas supporter. Ma tenue n’était pas faite pour la température du monde des humains. La seule chose que je voulais c’était de rentrer à la Soul Society pour dormir, ou mieux encore, pour m’entraîner un peu. Ca me soulait, de venir dans le monde des humains pour assassiner des gens et repartir directement. Quel intérêt ? Les Shinigamis « normaux » ne pouvaient pas s’occuper de ça eux-mêmes ? C’était pourtant pas sorcier ... Venir ici, assassiner un ou deux repris de justice, et repartir aussitôt, il n’y avait rien de difficile là-dedans. Et pourtant, c’était moi, un Capitaine, qui venait m’occuper de ça.
Peut-être me laissaient-ils le sale boulot pour pouvoir compter sur moi pour tuer une dizaine de Hollows au passage. En même temps, les Hollows de nos jours, ce n’est plus ce que c’était. Depuis l’arrivée des Arrancars et des Espadas, c’était devenu un jeu d’enfant pour nous. Il y en avait toujours qui donnaient du fil à retordre aux Shinigamis, mais à un Capitaine comme moi ... Il n’y avait pas de souci à se faire.

Après avoir tué deux ou trois petits Hollows rien qu’en passant par là, tel un jeu, j’arrivais dans un parc. Un grand parc dois-je dire. Mais ce parc, si grand soit-il, ne me disait rien qui vaille. Autant j’aimais la nature, voir les humains dans leur environnement naturel, mais là ... Il y avait quelque chose qui clochait. Un reiatsu qui me turlupinait, il fallait que j’en ai le coeur net. Descendant d’un toit d’immeuble, je tombais sur l’herbe telle une pétale de fleur et en toute discrétion, m’approchais de plus en plus de ce reiatsu troublant.

Et tout à coup, je sentis quelque chose sous mon pied. Non, ce n’était pas la froideur de la neige qui venait mouiller les petites sandales que je portais, mais bien quelque chose. Ou plutôt, quelqu’un. Je levais mon pied délicatement, mais je m’attendais plus à voir une crotte d’animal qu’une ... Peluche. La chose était en train de râler, râler et toujours râler. En fait, j’aurais dû laisser mon pied dessus et mettre tout mon poids sur cette sale bestiole. Encore un Mod Soul. Ces bestioles qui n’auraient jamais dûes être créées par la Soul Society. Je trouvais ça ... Absurde. Pratique, certes, mais absurde. Et le fait que ces âmes aient une conscience était d’autant plus outrant qu’elles n’étaient pas vraiment dotées d’une réelle intelligence. Je shootais dans la peluche avec rage et continuais mon chemin. Non, le reiatsu que je ressentais était un reiatsu que j’avais bien peu connu. Les Shinigamis d’il y a 100 ans s’étaient battus contre. Je ne rêvais pas, c’était bien ... Un reiatsu de Quincy !!

Souviens-toi de mon nom: · | Little Quincy | *Espèce protégée*

~ Smooth ~

Vous vous demandez comment débute la journée glandouille d'une jeune Quincy ? Et bien voilà ...

Les rayons de soleil entre doucement dans la chambre et illumine la belle endormie à travers les rideaux. Belle endormie oui ... mais attention à ne pas l'ennuyer avant son café, elle mort ! Après avoir lentement ouverts les yeux et s'être langoureusement étirée comme un chat prêt pour une nuit de dépravation, la voilà prête à affronter le monde. Mais avant toute chose, de la musique ! Elle se lève paresseusement, vêtue seulement d'un short et d'un débardeur, pièces minimalistes lui servant de pyjama, et se dirige vers le salon pour allumer sa chaine hi-fi. Santana. Rien de mieux qu'un son de guitare électrique ensoleillé pour débuter sa journée. C’est sous une bonne douche qu’elle reprend de sa voix grave et sonore les paroles de Rob Thomas, balayant ainsi les dernières traces de sommeille embrouillant son esprit. Une pensée pour les voisins … Maintenant bien réveillée, un bon petit déjeuner pour se remplir l’estomac. Coffee, butter toast, eggs and bacon. So british !

Passons maintenant à l’étape la plus compliqué de la matinée pour une femme : comment je m’habille aujourd’hui ? Pour commencer, Yuna ouvre la fenêtre histoire d’avoir une idée du temps qu’il fait dehors … et la referme aussitôt. Froid, trop froid. Ça devrait être interdit un froid pareil. Alors elle part voir dans sa valise, qu’elle n’a qu’à moitié vidé depuis son arrivée, les vêtements chauds qu’elle peu avoir. Oui parce que c’est connu, on n’en a jamais assez, mais on se contente de ce qu’on a. Et pour aujourd’hui ce sera un pantalon de cuire noir, un petit pull noir manche longue colle roulé, une ceinture noir cloutée argent et un manteau de fausse fourrure léopard par-dessus le tous pour égayer un peu. Grrrr caliente. Une fois couverte, direction salle de bain pour le maquillage. Du doré et du noir sur les paupières, du liner pour un regard charbonneux et mascara. Un coup de rouge sur les lèvres et le tour est joué ! Quelqu’un a dit salope ? Non, comme toute bonne adolescente rebelle qui se respecte Yuna aime paraître plus âgée et attirer les regards. Et ça marche !

Et pour finir en beauté ce début de matinée, rien de mieux qu’une bonne clope. Yuna attrape son paquet et … Damned ! Vide. Alors elle saute dans ses boots noirs de cow-boy et quitte son appartement.

Ce que Yuna trouve de formidable chez les japonais, ce sont leurs inventions. Tous pleins d'inventions qui sont grandement utile à la populace, comme ... les distributeurs de cigarettes. Bon Yuna ne sait pas si ce sont les japonais qui ont inventé le système de distribution en lui-même, mais ceux qui donnent de la nicotine ambulante en échange d'une petite pièce sont inconnus au bataillon en Angleterre. Et comme elle est mineure, elle ne peut aller chez un tabagiste. Bah oui, il est interdit de fumer avant vingt et un ans ... la bonne blague ! Elle est arrivée avec sa propre réserve le temps de trouver des "fournisseurs", mais elle a déjà épuisé tout son stock. Avec tout ce qui c'est passé depuis qu'elle est à Karakura, pas étonnant. Mais ça c'est une autre histoire. Pour le moment, Yuna doit trouver de quoi faire et elle a déjà repéré la machine la plus proche de chez elle.

Le parc. Malgré les rayons du soleil, le froid se fait sentir à travers la brise hivernale. Mais Yuna tiens le coup, ses longs cheveux châtains protégeant tant bien que mal son visage du froid. Elle arrive devant la machine, et un dilemme se présente à elle : quelle marque de clope prendre ? Elle n'a pas envie de se retrouver avec un bâtonnet puant la chlorophylle ou le menthol. Un nom attire son attention : Seven Star. Yeaaah ! Ça en jette comme nom ! Allez, hop, on glisse une pièce et on sélection. Yuna sent déjà son corps trembler d'extase en pensant à la dose de nicotine qui va bientôt imbiber ses poumons. Tarée non ?

Alors qu'elle porte à ses lèvres sa première cigarette du matin, notre jeune Quincy aperçoit une scène bien étrange se dérouler sous ses yeux. Dans le petit bois du parc elle voit une jeune femme habillée bizarrement, un cosplay comme ils disent ici, avec une peluche qui s'agite dans tous les sens. Surement un robot ... Quant je vous parlais des formidables inventions des japonais. Yuna s'imagine alors un carnaval ou une sorte de fête foraine de quartier où l'on gagne un lot après avoir chopé un poisson rouge avec une épuisette en papier. La jeune rockeuse se voit bien rentrer chez elle avec une énorme peluche panda. Y a des envies comme ça, faut pas chercher.

Alors c'est tous naturellement qu'elle s'avance vers la femme pour lui demander :

- 'scusez-moi, il y a une matsuri dans le coin ? Il est sympa votre costume ...

Attention où tu mets les pieds petite Quincy ...

Souviens-toi de mon nom: · Invité

En cette matinée la routine n’était que des plus lassantes, et ce même pour le notre Roku ban tai Taisho. Voila bien deux heures…autrement dit depuis l’aube qu’il s’évertuait à amoindrir ces dossiers qui ornaient sa table. Renji n’était pas des plus assidue ces derniers temps pour lui être d’une aide véritablement précieuse en ce qui concernait la tâche administrative, ni même pour la ponctualité, mais malgré cela il n’avait guère à s’en plaindre. D’ailleurs Byakuya parlait encore moins que d’ordinaire, depuis qu’il n’avait plus guère voir jamais de nouvelle de sa jeune sœur, Rukia. Jamais il n’avait réellement accepté le fait qu’Ukitake l’envoie ainsi dans le monde des humains, même s’il devait reconnaître qu’elle se devait d’être efficace au sein de sa division, car cela reviendrait à créer le déshonneur sur le clan.

Assit sur sa chaise, le noble voila ses pupilles anthracites et insondable, offrant un air des plus impassible, tandis que sa main munit du pinceau cessa son activité si précise et habituelle sur la surface granuleuse du document, qui jonchait le bureau. D’une manière certes noble et détaché, Byakuya se décala légèrement de sa table, afin de se redresser, gagnant ainsi la fenêtre qui donnait sur l’entrainement de ses hommes, au contre bas. Pa s une seule émotion ne passa en ses iris ombrageux et pourtant. Son esprit semblait aux prises avec biens des maux et des inquiétudes. Yoake avait disparut depuis quelques années déjà de sa demeure et ne semblait pas prête de se montrer..Mais ne l’avait elle jamais avertie de cela par le passé ? Qu’elle ne serait que son ombre qui jamais ne se montrerait, sauf si la nécessité de faisait ressentir. Jamais le noble Kuchiki ne lui avait confié cependant, combien il appréciait sa présence silencieuse, qu’il pouvait parfois percevoir en sa chambre, alors qu’il prenait quelque repos. Glisser quelques paroles, alors que tout semblait paisible autour de lui, et ce avant même qu’il ne se retrouve avec un Kenseikaan dans la chevelure. Yoake avait su être Yoruichi s’en l’être vraiment, le réconciliant vaguement avec cette confiance qu’il pouvait offrir, et que ce Bakeneko avait à son sens bafoué en disparaissant. Seul, oui depuis quelques temps la solitude n’en était que plus forte en son âme, sans que personne ne le comprenne ou ne le sache. Et cela, Byakuya en était fort aise en sa fierté, car jamais une telle faiblesse paraissait avouable.

Tout à ses songes, le noble taisho tressaillit légèrement à la venue d’un papillon de l’enfer, l’informant d’une manifestation étrange dans le monde des humains. Un léger froncement de sourcil vint marquer son front encore bien juvénile, car il trouva fort insolite qu’il soit sollicité d’une telle chose…à moins que cela n’ait un quelconque rapport avec sa sœur. Mais pourquoi diable, lui , le Roku ban tai Taisho serait tenue de se rendre lui-même sur Terre pour ceci ? Tout simplement parce que Byakuya était malgré tout un parfait individualiste en ce qui concernait ses propres affaires. Car oui, tout ce qui touchait Rukia le concernait, alors que cette dernière, même si elle lui vouait une admiration sans borne, pensait à tord qu’il ne l’appréciait pas du tout. C’est avec application qu’il retranscrivit les directives envers son subordonné, pour quand il daignera arriver bien entendu… Puis il s’empara de Senbonzakura qu’il fixa à son flanc gauche.. avant de disparaitre d’un shunpo.

Ce n’est qu’une fois positionné sur le terrain d’entrainement qu’il ouvrit le Seikemon et si engouffra sans plus attendre…et si vous me redite.. Pourquoi diable un taisho, et bien Byakuya rétorquera que s’il déléguait un peu trop ses devoirs, alors il se rouillerait bien trop tôt. Même s’il fallait admettre que le Roku ban tai Taisho n’aimait guère les humains et leur monde…Mais peu importe. Une fois arrivé à destination, le chef de clan se retrouva au devant d’un parc…uhmm enfin s’il pouvait appeler ceci un parc, car il ne faisait pas le quart du sien. Rapidement ses sens l’avertir de plusieurs reiatsu dont un.. qui lui était plus que familier et tout aussi inapproprié que le sien. Que faisait Soi fon ici… Intrigué, le noble s’avança d’un pas attentif et affirmant son assurance, vers ce petit groupe bien insolite, formé d’une taisho, une peluche….et….cette quincy dont le papillon lui avait parlé. Nulle doute que si Mayuri avait eut vent d’une telle information, il aurait été ravis. Mais Byakuya n’était point cet homme.

Le visage parfaitement lisse de tout sentiment et le regard des plus insondables, le chef du clan Kuchiki observa tour à tour ce qui se présentait à lui, snobant au demeurant cette misérable peluche qui s’animait sous le pied de sa collègue. Pas un mot ne franchit ses lèvres, alors que la jeune fille qui ne semblait comprendre la situation. Lentement ses paupières se voilèrent, alors que le vent un peu joueur, vint soulever un peu ses mèches de cheveux, pourtant parfaitement emprisonnées par le carcan de son Kenseikaan. Ses lèvres s’entrouvrir enfin, laissant entendre pour la première fois depuis le début de cette journée, une voix des plus atone et calme :

- Ceci n’est point une matsuri, mais une arrestation qui vous concerne.

Plus concis, on ne pouvait faire guère mieux que notre capitaine de la sixième division. D’ailleurs ce dernier restait d’une placidité plus que déconcertante, alors qu’il prenait malgré tout en compte toute tentative d’échappatoire.

EDIT ADMIN P : suite à des ... décisions des membres du topic et du Staff, ce topic est mis en suspend. Locké jusqu'au moment propice. En attendant, ce topic ne sera pas compté dans les trois rps autorisés.

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