Si fluctuants ... Si analogiques. Emulation entre l'ennui et la mort. Rui vs Castiel.
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Sujet: Si fluctuants ... Si analogiques. Emulation entre l'ennui et la mort. Rui vs Castiel. Sam 18 Déc - 20:18
Move - Thousand For Kurtch
✖ C'est par une vie intarissablement paisible que s'écoulent et s'énumèrent à présent les nuits de Castiel. Cela fait maintenant des lustres et des lustres, que la dernière vie qu'il coula par le sang des veines expira. Sa garde s'amenuise au fil des jours, sa passion, ses rêves se palpitent au fil que la patience se rapetisse. Des parents normaux, parfaits pour celui qui n'en a jamais eu, un jeune frère admiratif, un succès fou au lycée, une aisance insultante aux humains par la quelle prolifère sa vie, on ne peut espérer plus d'une existence pourrie, mais encore ? Malgré et malgré tout, l'insuffisance retentit tel un fort beuglement dans son subconscient. Pourtant, pas la moindre éraflure ne signale cette lassitude due à un manque d'intérêt ou à une activité monotone, qu'on dénomme "Ennui". N'ayant pas vraiment de chemin, Castiel s'avance d'un ton hasardeux le long des bifurcations qui se proposent comme un labyrinthe de pensées, errant à la recherche d'une infime satisfaction, le regard se confiant ainsi au vent de la ville, au miroir de l'eau, au cerisiers nocturnes ... N'ayant que pour principale témoin son propre cartable, et bien qu'étant inerte et sans vie, ce cartable aussi anodin soit-il parvient à lui soutirer un léger sentiment d'embarras. ✖ Aujourd'hui, sa collègue de table se blesse au doigt en heurtant un bout aiguisé d'un taille crayon, des gouttes perlèrent le doigt fragile, mais pour lui, ce trou était une véritable source qui chutait ... Submergé par l'envie, il ne put retenir ses pulsions, il se jeta presque sauvagement sur elle, et gorgea le sang du doigt, il était si serein, il trouvait son aise, et se complaisait longtemps à boire tel un mythique sanguinaire, jusqu'à provoquer de légers soupçons chez ses camarades de classe, il sentait qu'il fallait s'éclipser et rapidement, mais rien que la prune idée de quitter cet avalanche écarlate faisait s’affaisser le peu de lucidité qui lui reste encore, c'était un véritable supplice. Puis rien, comme une fleur sans parfum, il s'éclipsa du bras de la jeune femme aussi vite qu'il s'y était tombé. Furtif, il reprit son aspect "Soft" et murmura quelques mots devant la demoiselle devenue une pivoine de rougeur.
[Castiel] <> Bon sang, un gâchis comme je n'en n'aime pas.
✖ Fin des cours, Castiel rentre chez lui après avoir décliné la compagnie d'un de ses amis, amis ... Oui, il fallait bien leur trouver un nom, Yakumo pour être précis. Taciturne, sa démarche dénote une impassibilité insondable, bref tout le brouhaha habituel ne résonne pas plus qu'une goutte d'eau sur ses tympans, mais le silence pendant sa lecture proportionnelle avec sa démarche, lui, crierait presque des lignes du livres, c'était un ennui et un apprentissage indéfinis. Mais c'est là que ... un être sensé être invisible lui parut, en fait, il le ressentit avant même d'avoir à croiser la vue avec lui, , c'était une puissance hors norme, un Reiatsu comme on en voit peu, à défaut de dire jamais ... Comme il s'en doutait, c'était un Hollow, et pas à n'importe quel stade, cette ossature incompatible démontre qu'il est d'un niveau supérieur, c'était un Arrankar. Mais l'ennui qui se faisait plus beau que jamais ne tarda pas à être déjoué par l’excitation, c'était presque trop beau d'en trouver un dans les parages ... le taciturne sourit, infidèle à sa personne, il chemina le long de la ruelle. La neige tombait à présent. Si éclairants soient les grands textes, ils donnent moins de lumière que les premiers flocons de neige, cette neige qui possède ce secret de rendre au cœur en un souffle la joie naïve que les années lui ont impitoyablement arrachée. Cet homme fredonnait pendant qu'un assassin souriait en coin de bonheur, c'était un effet magique de blancheur, rendant les deux enjoués enfouis dans deux passions divergentes, l'un qui chantonne en confectionnant une boule blanche et compacte, le faisant d’ailleurs avec grand art, cette passion qui lui donnait l'avantage d’exceller le résultat, un talent négligeable, peut être ... mais fais avec du cœur. Distrait pendant un moment, Castiel ne put s'empêcher de contempler son visage enfantin, pur plaisir, isolé de la création, l'on aurait dit que le simple fait de méditer à son chez d’œuvre le rendait indépendant du reste du monde, c'était une merveille qui démontrait la satisfaction d'un homme. C'était là toute la magie de ces petits flocons qu'on connait comme étant de la neige, qui put émouvoir ne serait ce qu'une seconde, un assassin conquis par sa passion. Maintenant, il fallait se bouger, son corps pâlissait déjà, il était de constitution très fragile bien qu'étant taillé avec dextérité, Castiel était un sportif hors pair, mais pas très endurant, il dut déposer son corps quelque part, le temps d'en finir. Place au Shinigami qui lui, connait des limites bien plus repoussées, celui-ci traverse le mur du jardin d'enfants où moitié assis, le Lord joyeux finissait sa petite toile, l'Unlisht regretta presque ce qu'il s'apprêta à faire, interrompre ce moment si unique, par sa voix de milles audaces. Intangible, sa main avait d'abord traversé la nuque de l'imprudent, dans un fatal silence, effaçant la plus infime trace de sa présence, pour donner à la surprise toute son allégresse, il était impossible de détecter Castiel.
[Castiel] <> Tu me sembles bien douillet pour ce que tu es, Arrankar. Du coup, j'ai eu envie de faire connaissance, je te conseille de plier à mon souhait pour ce Pseudo-Noël, car il en faut de peu, et je retire ma main, avec ta gorge dans le tas. Question stupide pour un départ stupide entre amis, quel est ton nom ? Arrankar
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Sujet: Re: Si fluctuants ... Si analogiques. Emulation entre l'ennui et la mort. Rui vs Castiel. Lun 20 Déc - 21:20
A peine quelques secondes de réflexion, une drôle de sensation. Oui quelqu’un avait troublé ma douce chanson. Crime infâme, odieux criminel qui me dérange pendant mon solo. Il m’a surpris et a fais s’étrangler les mots dans ma gorge. La boule blanche, froide et douce entre mes mains m’échappa. Je ne pris même pas la peine de me retourner pour observer qui me parlait. Un shinigami, un humain... Sa façon de parler montre qu’il n’est pas arrancar. Les mots jaillissaient de ma bouche alors que je réunissais les flocons pour reformer une nouvelle boule de neige.
_Douillet... Noël.... C’est bientôt Noël, effectivement. Mon nom !
Un rire sarcastique sorti du plus profond de mes entrailles. Il... il se permettait de me demander mon identité alors qu’il n’est pas foutu de respecter les bonnes manières. Non mais, quel gosse pourri gâté. Mon sourire disparu bien vite sous une couche d’indifférence mêlé à l’ennui d’une telle rencontre.
Ha ! ha ha ha ! J’ai bien rit... Merci c’est déjà ça. Mon nom... Habashira. Mais je ne te donnerais pas mon prénom. Il faudrait que tu soit quelqu’un à qui je tiens ou... que je sois à l’article de la mort... Et toi ? Philo-boy, quel est ton nom ?
Mon pied glissa sur la plaque de glace qui se trouvait sous la neige et malheureusement je me retrouvais les fesses dans le froid. C’est là que j’ai pu voir le visage de cet homme. Fin, des yeux rouge aussi sombres que le sang et des cheveux noir profond. Rien de bien original pour un être doué de pouvoirs. En fait, il était d’une banalité déconcertante, presque un cliché du petit démon de salon. Assez amusant. Pensait il pouvoir capturer un lézard maladroit avec une seule petite attaque, un seul minuscule geste ? Je ne crois pas, mais qu’importe, mon estomac réclame de la nourriture. Tout en rampant dans la neige pour me mettre à une distance respectable du pseudo shinigami j’entamais une petite barre de ce chocolat suisse au éclat de nougat. Un délice, comme toujours. Je fouillais quelques secondes dans ma veste pour en sortir une seconde barre et l’offrir, comme un traité de paix, a mon interlocuteur.
_Tu en veux ? Ah... c’est vrai, tu as voulu me tuer... Tu va sûrement détruire ce bout de nourriture si insignifiant pour toi. Et pourtant, moi j’y vois beaucoup, comme une représentation de l’amitié ou... Arf... Je me met à philosopher, c’est pas bon.. C’ que.. Grrraf....
Ma tête heurta le sol, le chocolat tomba dans la neige, mon torse se convulsa, une bataille venait d’avoir eu lieu dans mon esprit, son vainqueur n’est autre que Holland. Il voulais voir, une nouvelle fois, a qui l’homme lézard avait affaire. Et selon les pulsions meurtrière que je pouvais ressentir dans le corps du shinigami, il est clair que tout cela va finir en un immense champ de bataille. Mon colocataire d’esprit sait parfaitement se servir de mes pouvoirs, peut être même mieux que moi. Pourtant il ne s’est pas entraîné une seule fois. Si je n’intervient pas dans ce futur combat, il est clair que j’aurais un nouveau mort sur la conscience. Mais il... il est trop tard pour résister à la volonté de cet homme, cet homme qui veut surpasser dieu coincé dans le corps d’un minable.
Et me voici, me voila, le beau, le sublime, l’incroyable Holland. Incomparable dans toute ma splendeur et ma grâce, me voici face à un adversaire de choix, un reitatsu imposant et des pouvoirs pour le moins originaux. J’ai l’impression qu’il peut rendre intangible son corps... Sur une certaines duré ? A moins que ce ne soit à lui d’en décider.... Qu’importe, qu’importe ?! Voix suave, ok. Transformation en moi, ok. Remise sur pied, pose cool, ok. Regard froid et classe, ok. Petite touche “sex”, ok. Tout est PARFAIT.
_Biiiiiien. J’ai entendu le mot philosophie, je suis là. Holland, pour vous servir. Sire, vous avez l’air un peu énervé, vous avez brusqué mon.... “ami”. Vous savez, il n’est pas mauvais, c’est un type bien maiiiiis.... J’avoue, c’est la plus grosse des lopette de ce monde et il mérite de crever comme un vulgaire moustique contre le carreau d’une vitre glacé. Dooooonc, si il pouvait souffrir lentement, qu’il comprenne c’que je vis tous les jours, je vous serez reconnaissant, etc...etc... Même si....
La main sous le menton je touchais au quelques poils qui avait poussé comme un hommage à la virilité, après un long soupire d’ennui je continuais ma phrase, tranquillement.
_...un petit combat histoire de te faire comprendre que nous, les arrancar, nous ne sommes pas douillet, ça me ferais le plus grand bien.
Et c’est la dessus que je rend l’antenne, que je vous quitte mes fans, que je vais rire seul, seul sur la misère de ce caméléon, il va souffrir et moi, je vais me tordre de rire. Chaque coup que j’encaisserais sera sa souffrance, chaque coup qu’il donnera, sera ma victoire.
Dernière édition par Rui Habashira le Lun 27 Déc - 21:38, édité 2 fois
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Sujet: Re: Si fluctuants ... Si analogiques. Emulation entre l'ennui et la mort. Rui vs Castiel. Sam 8 Jan - 17:37
Bleach OST - Treachery
✖ Philosophie ?! Il est clair que Castiel avait une penchée pour la philosophie, celle-ci ayant connu ces éloges lors de son époque. Mais philosophie ? Les philosophes, ces surdoués de la société, il se sont élevés vers un stade élitiste de la pensée, des gens qui cogitent mieux que les banales entités monotones. Car le propre même du génie, est de fournir des idées aux imbéciles d'une vingtaine d'années plus tard. Mais ... Philosophie ? Pourquoi cette homme parlait de philosophie ?! Devant un simple lycéen en plus. Un talent de devin prématuré ? Non, cette idée est fort louche. D'autant plus qu'un imbécile pareil n'était clairement pas fait pour saisir quelque chose d'aussi ample que la "Philosophie". ✖ Additionnez à ça, un sérieux problème, il est très atteint, une trisomie ?! Quoique sa schizophrénie n'était pas vraiment potable, ou de moins, à ce qu'il laisse paraître. Aucune bribe d'originalité, c'était un Clown doté d'un humeur pesant. Le pire, c'est que lors de ces virées fluctuantes, il s'y croyait intensément, à tel point que le ridicule était une sorte de réincarnation pour lui. Souffrant ou non d'un réel problème de dédoublement de personnalité, il réussit à arracher un léger rire de Castiel, qui avec courtoisie, mis sa poigne sur sa bouche pour incarcérer le plaisir qui s'échappe de son visage. Le regard rêveur de Castiel réussit tant bien que mal à se maintenir éveillé, mais il ne put s'empêcher de bailler. Il faut croire, pour être la voix de l'ennui, il s'y prenait comme même bien, aussi artificiel soit-il. Il jasa longtemps, très longtemps ... Sans pour autant aguicher la flemme de son cœur, l'adonis résistait avec ardeur au sommeil, tant bien que mal, mi conscient. Des images floues perçait son champ optique, il y voyait avec dérision un homme qui gigote de son propre chef, il tournait de façon insondable au ridicule, des débats avec lui même peut être, les images nébuleuses de son sketch défilaient tandis que les paupières du ténébreux s'embrasaient jalousement puis s'écarquillaient et ainsi de suite. Feignant une nouvelle fois la narcose d'ennui, son corps zigzague et fais face à la fatigue, des larmes perlent son visage exténué, un beuglement d'ennui cris à l'abus cette fois. Décidément, il fallait l'avouer, Castiel est déjà presque K.O avant même d'avoir combattu, c'était un ennemi respectable d'un certain angle. Là, il semblait à peine avoir fini son monologue anodin, Castiel n'a déchiffré que la dernière partie de ces dires.
[Holland] <> Combat ... Arrankar ... Bien.
[Castiel] <> *En sursaut* Ah euh Quoi ? Combat ? Enfin, ça me gavait d'attendre. Dire qu'un imbécile de nos jours peut être si puissant, quel supplice ... Décidément, le monde a bien changé, il devient dangereux. Enfin bref, finissons-en, je rentre me coucher.
✖ Puis dans un fôlatre Shunpo pratiqué avec grâce, Castiel porta son mirage derrière son adversaire, et murmura quelques mots en pointant son doigt derrière l'adversaire laissé pour ébahi, avant de lancer un Kidô.
[Castiel] <> Laisse moi au moins te finir ... par un splendide silence.
Bakudō no sanjū : Shitotsu Sansen
✖ Un puissant Kidô utilisé d'habitude par l'élite des Omniskidô est incanté. il épingle la cible au premier obstacle par trois pieux de lumière placés en triangle équilatéral, cet obstacle est un mur du jardin d'enfant, il sorti lentement sa lame de son fourreau, puis furtivement compléta son mouvement, la tendit en haut puis se prépara à en finir.
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Sujet: Re: Si fluctuants ... Si analogiques. Emulation entre l'ennui et la mort. Rui vs Castiel. Lun 17 Jan - 12:45
Derrière lui, le sourire au lèvre je l’observais. Il avait levé son arme devant quoi ? un espèce de gros sac de ballons de foot qui traînait là, sûrement oublié par le professeur de sport du coin. En fait, je l’avais empoigné juste avant qu’il fasse tout son charabia de Socrate. Et là, mais il est drôle de parler à un sac à patate, l’espèce de concombre. Moi aussi j’peux raconter des salades sans rougir comme une tomate. Et au moins, j’ai pas une tête d’asperge. Hum... ça me donne faim tout ça. Je sorti une barre de toblerone qui se trouvait par hasard dans ma poche. Mouai, pas mauvais, pas extra non plus. Assez bon quoi. Mais sa reste collé dans ma molaire, foutu nougat.
_Bien alors tu m’excusera, mais j’pige pas un mot de jap’ chui un british. Holland McCartney t’sais comme le... nan rien. Les Beatles tu dois pas connaître. Enfin bref, là c’est juste pour dire que ton petit tour de carte là... ça à fait un “épic fail”. A et aussi, je viens de Liverpool. Ca te dis quelque chose ? Non ? Normal. John, Georges, Paul, Ringo ? Les quatre garçon avec les cheveux dans le vent ? Rien du tout ? Aucune culture générale mon vieux.
C’était drôle, il avait brandit son katana “made in china” dans une pose assez classe, si son adversaire n’avait pas été un joli sac en toile. Là on aurait juste dit un clampin qui a oublié ses lunettes, ou du moins ses lentilles. Remarque, avec des cul de bouteille il aurait un beau profil. Sweet dream. Là, dans son dos, la seule envie que j’avais c’était de lui enfoncer dans le séant mon épée, de la lame jusqu’au manche, un truc énorme. Je me demande si ses cris seront de terreur ou de plaisir. Peut être un peu des deux. A mon avis, il n’a pas non plus mis son sonotone parce qu’il ne s’est toujours pas présenté. Mouai...
_Bien alors, ton nouveau nom ce sera Michelle. Tu vois c’est une chanson des petits scarabées que j’apprécie. Calme et douce, gorgé d’amour et surtout à moitié française. Un peu comme toi, t’es mou comme euh... un caramel, un marsmallow, un cousin, un... enfin tu vois quoi, c’que t’a dans l’froc.
Je sautillais pour m’éloigner de lui en chantonnant. Si agréable de se sentir libre et Rui n’avais rien à dire sur le cou, il appréciait même. Des ondes négatives de dépression émanait de ce type. Clairement, le genre d’émo rebelle qui en on trop marre de leur vie en pleine crise d’adolescence. Fuck la life... Putain ils savent même pas parler Anglais ces fuckin’ japonais.
♫ Michelle, ma belle. Sont des mots qui vont très bien ensemble, très bien ensemble. I love you, I love you, I loooooove you ! ♫
Agréable, que des mots que j’aime. “Amour”, “Je”, “belle”... “ensemble”. Narcissique, moi ? Non, quand même pas. Juste amoureux de mon corps et de mon esprit. Non j’vous dit s’pas du narcissisme !! Je sortis mon arme observant sa lame et je la présenta à ma bouche la tête à l’horizontale. J’allais me délecter des pouvoirs de sire caméléon. In english, please.
Tranche et maudit déesse des.... fuckin’ lézard !
L’épée s’enfonça dans mon gosier à la vitesse de l’éclair, quelques secondes pour digérer ça et un fluide immonde remonta ma gorge. Il sorti de ma bouche créant une minuscule filet de liquide blanc qui recouvra tout mon visage en une forme plutôt grossières avec de grand yeux, une ouverture pour la bouche. Un fuckin’queue de lézard apparue dans mon dos, mes mains et pieds devinrent d’une couleur aussi agréable que le vomi. Plus de chaussures, le torse à l’air, d’étrange marques sur les avant bras et une langue de métal pouvant allait sur une distance certaine. Sans oublier, le manche de mon zanpa’ qui était revenu à sa place initiale dans ma main droite rattaché à mon poignet par un fil qui lui aussi a la capacité de s’allonger.
_Si tu te moque, je te flingue. Si tu ricane, je te tue. Si tu penses à des blagues sur mon apparence, je te tranche la gorge, je te pends et je te torture avec violence et p’t’être même que j’abuserais de ton cadavre. Si t... Ho et puis merde ! Dans tout les cas ce combat est perdu d’avance.... pour toi.
D’un bond j’atterrit sur le toit du bâtiment. Des larmes coulaient sur mes joue, derrière le masque mon visage était déchiré par les émotions néfastes. Tristesse, terreur, peur, rage. Tout ce que moi et le lézard avions amassé depuis la dernière utilisation me revinrent en pleine face. J’avais de plus en plus de mal de retenir mes sanglots. Les gouttes tombaient devant moi, je portai ma main à mon visage mais tout ce que je vis c’est un truc immonde dont seul les caméléon ont le secret. Pour faire disparaître tout ça, ma seul réaction fut de taper mon pied contre le sol se qui créa un impact et qui, au passage, m’explosa le talon.
_Fuck, bordel de merde, chié. Tout ça, c’est de ta putain de faute ! Et ça me donne envie de répandre tes fuckin’ tripes sur les mur de ce lycée. A la vue de toutes et tous.
J’avais beau me mordre et me remordre la langue rien n’y faisait ma souffrance ne bougeait pas, cette resureccion avait un avantage c’est celui du pouvoir mais un aussi un inconvénient. Elle démultiplie toutes les insultes et autres attaques moral que Rui à reçut et les relâche violemment, même mon esprit extrêmement résistant de beau gosse n’y peut rien. Et ça, ça me fait chier. Pourquoi est ce que je n’activerais pas la segunda etapa qu’Habashira-sama redoute tant... Bonne idée Holland ! T’es vraiment le meilleur, normal, tu es Holland. Quel logique à toute épreuve. Si je me souviens bien il suffit que je dise...
Prend mon corps, mon âme, mon esprit Dieu des lézard et découpe, juge , achève, tue.
Eh voila, une belle apparence de.... Ha... Mince.
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Sujet: Re: Si fluctuants ... Si analogiques. Emulation entre l'ennui et la mort. Rui vs Castiel.
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