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     Warrior's pride [pv Castiel]

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    Fubuki Toya
    Fubuki Toya

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    MessageSujet: Warrior's pride [pv Castiel]   Warrior's pride [pv Castiel] EmptyMar 28 Déc - 20:02

    "I wanna see the infinity of the ocean"


    Il existe en ce début du vingt et unième siècle une maladie qui surpasse de loin toutes les autres, qui depuis toujours, s’étaient lentement battues pour avoir le trône de celle qui serait la plus contagieuse et la plus répandue, la plus dévastatrice et la plus intraitable. Elle avait toujours été là, languissante, attendant telle une tique sur son arbre, attendant son heure de gloire, l’heure de se réveiller. Il avait été impossible pour elle de se réveiller plus tôt, tout simplement parce que l’humanité n’était pas assez avancée. C’est vers la deuxième moitié du vingtième siècle qu’elle s’est incrustée dans les habitudes de confort, qu’elle a répandue son poison aussi rapidement que possible…Jusqu'à ce que la moitié de l’humanité l’ait dans ses veines sans s’en rendre compte… Plus si l’on compte ceux qui n’étaient plus humain. Une maladie intraitable, incompréhensible…Et tellement habituelle : La flemme.

    Et c’était exactement ce à quoi elle pensait alors qu’elle avait la joue collée contre le sol, a moitié dénudée hors de son futon et complètement HS alors que le soleil caressait sa peau. Nan je ne veux pas travailler aujourd’hui ! Il fait trop beau pour se lever, c’est un temps à dormir et à profiter de la solitude de son matelas…Elle resta là étendue pendant encore quelques heures, profitant de son sommeil durement mérité – ne rien faire, ça fatigue !- jusqu’à ce qu’un battement d’ailes imperceptible aux oreilles « normales » se fit entendre de l’extérieur, léger, puis plus soutenue, se rapprochant d’elle le papillon noir vint se poser sur elle pour lui transmettre le message…Et la réveiller par la même occasion. Elle essaya de donner quelques coups dans sa direction mais l’insecte n’en démordait pas, la harcelant jusqu’à ce qu’elle daigne enfin se lever et se vêtir un peu plus correctement pour pouvoir allez sur Terre.
    C’est donc à moitié endormie et totalement déphasée que la troisième siège arriva sur le toit d’un immeuble, sans regarder où elle avançait – elle ne remarqua même pas qu’elle était en train de marcher dans le vide depuis quelques minutes déjà- jusqu’à ce qu’elle fut plus ou moins en état de connecter décemment ses neurones entre eux afin de pouvoir formuler une pensée un peu plus concrète ; à savoir, pourquoi est ce qu’elle avait été envoyé à karakura….Hollow…Beaucoup…méchant…puissants…. Des brides de mots qui s’entrechoquaient entre ses neurones encore un peu déconnectés. Elle s’étira paresseusement pour essayer de se donner un peu de courage face à son dur labeur.

    "Pff quelle galère ."

    Elle prit une grande inspiration et disparue.

    La respiration saccadée et haletante Toya courrait comme elle le pouvait en direction de la rivière. Si elle arrivait à atteindre l’eau, alors tout serait réglé, tout serait fini. Elle avait beau pouvoir capturer l’eau présente dans l’atmosphère, il lui était impossible d’utiliser toute sa puissance d’un seul coup avec la condensation des milliers d’infimes gouttes d’eau saturant le ciel. Oui, ça lui apprendra à ne pas se réveiller. Elle avait omis le détail « Très nombreux ». Aussi troisième siège qu’elle pouvait être, lorsque les hollows attaquaient de tous les cotés sans en finir, oui, alors si l’on n’était pas dans son élément, la libération de son zanpakuto allait être un peu …. Comment dire….infaisable.
    L’air s’était chargé…il allait bientôt pleuvoir, elle s’arrêta de courir, faisant face à la horde sans broncher cette fois, son regard bleu azuré et glacial les fixant sans ciller …Lorsque la première goutte heurta sa peau.

    "Entame le requiem..."

    Dans une ruelle sombre elle tituba, la respiration lente et haletante, le sang coulant joyeusement sur sa peau ivoire, se mêlant sciemment aux gouttes de pluie. Elle était trempée, ce n’était pas une mauvaise chose en soit même cela ne la gênait pas…puis elle s’écroula sur le sol, une marre de sang commençant à se déverser sur le sol alors qu’elle poussait des cris de douleurs. Rencontrer un arrancar n’avait pas été prévu, encore moins qu’elle se fasse attaqué par derrière par ce dernier. Dans la rue adjacente, des gens passaient sans la voir, c’était rassurant…Et inquiétant à la fois… Elle ne devait surtout pas rencontrer d’autres adversaires dans son état, ou sinon elle allait mal finir. C’était ce qu’elle pensait alors que le manque de sang commençait à lui faire tourner la tête… L’eau lavant sa peau blanc…Emportant au loin le précieux liquide vital…
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    MessageSujet: Re: Warrior's pride [pv Castiel]   Warrior's pride [pv Castiel] EmptyJeu 30 Déc - 15:57

    Kuroshitsuji's OST - One more time ...



    Darkness's yours
    Les ténèbres déambulent la chambre par une nuit de plaine lune, décelant par ce fait l'immensité de leur vœu pieux, un serment qui incluait faire de l'homme leur chimère, leur rêve le plus fou. C'est pourquoi l'ensemble des personnes qui s'y trouvait étaient ténébreuses, fielleuses , envieuses, et folles sous la divine lumière lunaire. Dans son esprit, teinté par cette nuit macabre, nacré et renforcé par le mal qui le ronge, Castiel somnole, sclérosé par le pouvoir du vide, comme pour cicatriser et régénérer un tissu organique, le peu d'affection qu'il venait de dépêtrer des cages de son cœur équivaut tant bien que mal aux dégâts d'une blessure mortelle. Et dans ses entrailles tortueuses et aveuglantes, il entrevoyait l'avenir. Une telle chose ne devrait pas être possible, il était -comme toujours- tiraillé entre action et inaction, que faire, comment le faire ? Des choix et des hypothèses qui apparaissent dans des flash maculés de génie, tandis que d'autres possibilités et conséquences ternissent et finissent par s'annuler. Toutes sorte de réflexion, à la conquête d'une idée ou d'un pouvoir ultime, permettant d'innover de nouvelles lois. Là, dans ce qui semblait être son monde intérieur, un semblant d'anarchie assujettissait à son plain, le monde n'était plus régis par les lois de la physique mais par celles de la métapsychique. Ici, l'on ne brandissait plus des épées pour l’assaillir mais des idées. C'était des plaines et des mondes, étales et fécondes, dans les quelles s'incarnait chacun de ses idéaux, chaque pensée était représentée sous forme de bribe immatérielle, de vide. les architectures étaient sous forme de pénates du 16ème siècle, encore teintées de vide, le vide qui faisait facteur commun de tout dans ce monde. Vacante et abandonnée, cette ville se miroitait dans le ciel, sa jumelle prenait la position inversée, accentuant de ce fait la tournure anarchique que prenaient les choses dans ce monde. Fluctuants, mystérieux, volatiles, les ectoplasmes du passé régnaient en maître dans cet endroit, les sens n'avaient plus leur valeur, seules des illustrations maintenaient la raison des visiteurs, des églises maculées de neige, des amours qui n'aboutissent plus, des mourants des salauds, des cris dans la bourrasque, des liquides qui s'éparpillent, la sueur qui s'effiloche, des sanglots et du sang. C'était un monde bien trop sombre, c'était la psychose de la création, le dérèglement de la réalité, c'était une toile bien trop violente, c'était la folie de l'humanité. Affranchies mais fraichissantes, les Tsukihime venaient prôner ce monde qui n'avait de cesse que de rattraper le tact de son créateur, de son silence encore plus tapageur que le bruit. Elles s'avançaient courageuses vers l'inconnu, à la recherche d'une réponse, mais déjà plongées dans les creux de la peur, c'est un Laevatein porteur d'angoisses qui vient s’enchevêtrer à leur craintes, il modela le monde de façon à les suffoquer de chagrin, il leur murmurait des choses, et s'apprêtait à façonner leur souffrance raffermissant encore cette illusion d'oppression, jusqu'à les submerger de folie, comme pour leur prohiber le droit de venir ici. Mais soudain, dans un moment si unique, c'est une voix qui vint tout cesser, Il n’y avait plus d'illusions, plus de violence. Seulement une envie de finir.

    [Castiel] <> Ça suffit Laevatein, je prends le roller.


    [Laevatein] <> Ma foi, j'y trouvais une certaine satisfaction il faut dire, tu sais, c'est encore meilleur que ...

    Et tel un pharaon connaissant chacune des bifurcations de sa pyramide, Castiel fit évaporer le contour opaque, qui semblait courber toute sorte de lumière, pour les amener vers un château médiéval, triste construction que voilà, mais puisant sa beauté de par son chagrin. "Là, tout n'était qu'ordre et beauté, luxe calme et volupté". Et c'est dans ce domaine aristocratique qu'il lui arriva de leur expliquer la raison ...

    [Castiel] <> Laevatein a le pouvoir de maîtriser le vide et l’intangibilité, et à travers son œil gauche, il peut voir des choses immatérielles, tel que les pensées et les sentiments ...

    Le lendemain était un samedi, Toya plongée dans son éternelle narcose semblait aussi feignasse que morte. Perplexe, Castiel la contempla longtemps d'un moitié sourire, tachant ses traits par ses pensées. Lui qui était déjà habillé soupirait d'un tel supplice, se remémorant l'époque où il pouvait paresser des jours et des mois ... Un bonheur en soi. C'est ainsi que l'idée de l'utiliser vint ronger ses songes, elle n'était pas spécialement puissante mais exceptionnellement prometteuse. Là encore, une vive lueur s'encagea momentanément dans ses yeux, reflétant la profondeur de l'idée qui le tracassait par un moment si tangible.

    [Castiel] <> Tu es simplement splendide à rêvasser à tort et à travers ... Baaaka.
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    MessageSujet: Re: Warrior's pride [pv Castiel]   Warrior's pride [pv Castiel] EmptyDim 23 Jan - 14:00

    "A better place to fall Asleep"

    Impériale et insensible à cet enchevêtrement discontinu d’obstacle et de brouillard, Tsukihime resta plantée là où elle était. Elle n’était nullement émue par chaque goutte de poison qui s’écoulait, secondes après seconde du monde intérieur qu’elle avait investit de force tout comme le possesseur de ce tombeau avait osé envahir le sien. Elle se tenait droite, royale, fière, comme toute princesse devait se tenir. Dans ce château obscurément glauque à l’atmosphère douloureuse elle restait digne et froide. Le chagrin l’envahissait, elle restait stoïque. Et plus ce délicieux poison s’acharnait autour d’elle plus un sourire malsain se dessinait sur les contours de sa bouche. Il pouvait cracher tout le venin qu’il avait, il pouvait formuler ses pires craintes et ses pires illusions : la mer était infinie, tout comme sa peine. Il n’avait pas une seule idée de ce qu’était la véritable douleur ; le jour où il la connaitrait alors, peut-être réussira-t-il à la chasser de se monde noir et mouvementé.
    Elle ne broncha pas, supporta tout, digne malgré la douleur son visage ne trahissait aucune émotions ni signes d’inconfort, elle ne se sentait pas attaquée, du moins pas directement ; « Donne-moi du poison pour mourir ou des rêves pour vivre. », en l’occurrence le mélange des deux la laissait de marbre et de glace.

    Pourtant elle ne vint pas cracher au visage de Castiel lorsqu’il fit cesser cet assaut de tourment et de dégout. Elle se sentit soulagée, mais pas reconnaissante, non loin de là. C’était un peu comme calmer la momentanément la douleur que l’on ressentait sur une plaie ouverte et béante au lieu de rajouter du sel sur la blessure qui commençait à s’épancher. Emoustillée elle secoua la tête pour reprendre ses esprits puis d’un revers de main dissipa les dernières couches opaques de venin qui venaient encore la titillait, sardoniques. Elle se redressa et fit face à Castiel. Elle pensa qu’il aurait été poli de gentiment le remercier pour l’aide qu’il lui avait apporté – bien qu’elles auraient put s’en sortir tout de seule- néanmoins elle lui devait une fière chandelle sur ce coups là, elle lui rendrait l’appareil lorsque la situation se présenterait. Bien sur aucune de ses réflexions n’atteignirent son centre de la parole, restant flottant dans la zone de son cortex.
    Elle lui lança un regard glacial et impartial, comme si elle lui disait haut et fort «Heureusement que tu as fait arrêter ce cinéma sinon j’aurais été forcé de l’arrêté moi-même ». Son petit coté espiègle montrant à quel point elle pouvait être aussi vipère. Le serpent se faufila un peu plus vers son interlocuteur, ses pas résonnaient dans le corridor de pierre qui la séparait du maitre des lieux. Une princesse dans un château quoi de plus normal ? Elle se sentait à son aise et à sa place, juste pour ces raisons elle s’avança encore un peu plus jusqu'à faire face à l’imperator de ce lugubre manoir.

    Une fois arrivée face à lui, ses traits se radoucir, presque suppliant, mais toujours indéchiffrables, un subtile dosage entre ordre et demande.

    « N’en dis rien à Toya. »

    Puis elle sortit de la même manière dont elle était entrée : d’une démarche gracieuse et royale.

    L’intéressée dormait toujours, d’un sommeil réparateur et bien faiseur : qu’il était bon de dormir et paresser – bien qu’a moitié sur le lit et a moitié sur le sol n’était pas la position idéale mais comme dirait l’autre on s’en fiche royalement. La sensation de béante contemplation que l’on éprouve est juste incomparable. Une sensation de bien être totale et de laissé-allé sans fin. Elle se laissait divaguer dans un sommeil sans rêve cette fois, sans ombre ni fantôme, sans tracas ni problème.
    Elle entendit une voix de loin, une voix proche et lointaine à la fois, un sourire se dessina sur le bout de ses lèvres.

    "Ce n’est pas...une raison…pour me tuer dans mon sommeil."

    Elle esquissa une demi-lune avec ses lèvres alors que ses paupières, encore lourdes et malgré sa voix endormie commencèrent à s’ouvrirent. Elle mit du temps à vraiment s’immergée et ses propos étaient encore incohérents, un peu comme quelqu’un qui sort d’une cuite.

    "Bien le bonjouuuuuuuuuuuuuuuuuuur (Etirement pour essayer d’enlever sa paresse) monsieeuuuuuuur (derechef même problème) le bellâtre."

    Elle esquissa un baillement derrière sa frêle main alors que ses paupières s’habituaient à la lumière ambiante. Puis elle s’escrima à observer son sauveur. Il avait l’air d’avoir quelque chose derrière la tête. Une idée qui germait au coin de son cerveau, quelque chose de nouveau qui avait jaillit telle une étincelle mais qui était encore au stade primitif et embryonnaire.

    "Somethin’ don’t go well dude ? >.>"

    Elle s’étira encore une fois puis laissa retomber ses members alors qu’elle s’affalait sur le lit libérer pour faire un gros calin à l’oreiller qui sentait à plein nez l’odeur du shampoing de Castiel. Et après plusieurs minutes, alors qu’elle semblait s’être endormie.

    "Je…hum…comment dire…hum… Merci…pour hier soir… "

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